Au pays des berbers, Maroc 31.3-17.4.2001

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Chapitre 1: La vie urbaine

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Les vacances de Pâques durent tout deux semaines dans les universités et écoles en France. Je n'avait aucune pression de famille de faire la fête à la façon traditionnelle - quand Christelle m'a proposé une aventure au Maroc ce n'était pas difficile à décider. J'ai emprunté un sac à dos à 60 litres, assez grand pour mes affaires de rando, duvet inclus. Encore quelques t-shirts et j'ai pris le tram pour Lyon Perrache samedi après-midi 31. mars 2001.

Notre équipe de gauche à droite: Mathieu, Magali, Christophe and Christelle. Tous sauf Christophe participent au programme Eurinsa, une formation spécial à l'INSA dans laquelle un tiers des étudiants sont Français et les autres deux tiers viennent de different pays d'Europe. En plus, les Français font au moins un de leur stages à l'étranger. Tout le groupe adorait la montagne et Christelle et Magali avait même vecu au Maroc, j'avait une superbe équipe avec moi.

Nous prenions le car lorsque tous les avions étaient pleins déjà plusieurs mois avant. A 17 heures nous sommes partis, l'arrivé prévu étant 3 heures lundi matin à Rabat. Lire, jouer aux cartes, manger chaque quatre heures et dormir autant que possible était sur notre programme pendant le car traversait la France et continuait pendant la nuit en Espagne. Comme un bon début nous avons rencontré Alex, un étudiant Français qui avait aussi veçu au Maroc avant.

Le bateau d'Algeciras à Tanger prenait environ 2 heures et demie et nous sommes arrivés au Maroc 19.30 temps locale (GMT). Il y avait pas mal du vent pendant le trajet, une autre touriste avait besoin d'aide pour prendre un photo.
Les formalités sur la frontière avait, comment le dire, une style particulier. J'avait passé des contrôles plus strictes avant, mais ici nous étions fermés dans le bus pendant les officiers ont ouvert quelques bagages par hazard à l'éxterieur.

Nous avions pensé de commencer notre tour au Rabat tout suite dés l'arrivée, mais le car était plusieurs heures en avance et nous nous inquietions un peu quoi faire au milieu de nuit. Christelle a appelé son vieux ami Zakaria mais rattrapé seulement le repondeur. Mais pas de problèmes, avec l'aide de deux policiers et deux chauffeurs de taxi nous avons trouvé un hotel agréable et bon marché dans 20 minutes. 50 dirhams (environ 5 euros) pour le taxi et 140 pour une chambre de cinq lits à 2 heures du matin, incroyable!

Lundi matin nous avions une destination spéciale pour Christelle et Magali: leur vieux appartement. Maintenant il était un bureau d'avocat. Quand nous étions en train de prendre un photo devant la porte, tout d'un coup la proprietaire l'a ouvert et nous invité pour une visite. C'était un moment plein des memoires precieux pour les deux filles.

Enfin Christelle a réussi de contacter Zakaria et nous nous sommes rencontrés dix minutes plus tard devant le mosque de Hassan. Au Maroc seulement les musulmans peuvent entrer, les touristes comme nous doivent se contenter de prendre des photos de l'éxterieur.

Dans toutes les grandes villes au Maroc il y a une vieille centre-ville, Médina. Les Médinas sont entourés par des murs, parfois plusieurs murs des époques differents. Ceux de Rabat étaient construits pendant le 17ème siècle.

Zakaria nous a proposé de se promener ensemble et nous sommes traversés le labyrinthe des rues étroites de Médina et arrivés aux jardins de Oudaïas. A coté de la mer il y a une belle vue et un café au plein air qui est populaire même entre les celebrités du Maroc. Nous y sommes alles pour boire une tasse du thé et goûter les patisseries locales. Le thé au Maroc et normalement du thé vert à la menthe avec beaucoup du sucre, délicieux surtout pour la dessert.

Notre voyage continuait déjà l'après-midi vers Marrakech, une autre ville environ 300 kilomètres vers le sud. Nous avons pris le train, voilà un paysage typique à la campagne.

Le train est arrivé à Marrakech environ 18 heures et nous sommes allés à pied à l'hotel Farouk où nous avions une reservation. A la réception nous avons demandé les prix les moins chers et le patron nous à offert de dormir sur la terrasse, qui etait en fait sur le toit. La terrasse semblait sympa et il faisait beau donc nous avons pris une chambre double avec la douche et la toilette et la terrasse pour trois personnes: 240 DH petit déjeuner inclus. Enfin tous sauf Christelle ont décidé de dormir à la belle étoile.

Le soir nous sommes allés au Médina pour dinêr et jeter notre premier coup d'oeil au réseau énorme des petites rues et merchants vendant vraiment n'importe quoi. Au milieu se trouve Jemâa El Fna, le marché celèbre de Marrakech. La place est tout le jour plein de commerçants qui tous dèmarrent leur petit génerateur et allument les lumières quand la nuit se tombe. Les nombre des petites boutiques se multiplie et l'espace qui reste est pris par des musiciens, jongleurs et autres artistes.

Jemâa El Fna pendant le jour.

Nous avons mangé le dinêr au restaurant de l'hotel Ali à cote de Jemâa El Fna. C'était un buffet de couscous traditionnel avec plus de dix plats à choisir avec patisseries et oranges pour le dessert. Tout ça à volonte pour 50 DH, superbe!

Reveilles-toi, nous n'avons pas le temps de dormir toute la journée! La terrace n'était pas seulement une offre pour nous, c'était un choix officiel sur la liste des prix de l'hotel. On pouvait laver la linge aussi.

Les petites rues au Médina de Marrakech, souks, sont magnifiques. Presque chaqune est trop étroite pour les voitures mais elles sont utilisés par une mélange des piètons, velomotoristes et mules tirant des petites charrettes. Les tapis traditionnelles, Pokémon jouets, bijoux et fruits secs sont concourent de l'espace sur les étagères. Les boutiques sont côte à côte, parfois en deux étages et quelques souks sont couverts par une faible construction du bois et de la tôle. Et dans une des souks les plus sombres il y a une entrée modeste comme tous les autres qui mène à ... une banque avec une demi douzaine de guichets et tous les équipements modernes.

Après le déjeuner nous avons fait une petite promenade touristique. Le palais royale n'était pas très interessant de l'éxterieur et on ne pouvait pas l'entrer. La grande place à côte rassemblait beaucoup des photos typiques des pays arabes. Les tombeaux saâdiens (dans le photo) avaient une contraste frappante entre les murs plains et ceux avex des decorations complexes, vaut bien la peine à visiter.

Il était 16.30 et nous n'avaient pas encore réservé notre places pour le retour en France. Mathieu et moi ont pris le taxi pour le bureau CTM pendant les autres continuaient le promenade en ville. L'officier a mis un tampon, un autocollant et écrit les horaires sur nos billets, mais ce n'était pas suffisant: nous avions encore besoin d'aller dans une téléboutique pour prendre deux polycopies de chaqun. Bien pratique.

Nous avions déjà acheté quelques vetements berbers pendant la journée, mais nous sommes encore allés aux souks pour une heure avant de retourner à l'hotel. J'ai écrit mes dernières cartes postales et puis c'était l'heure de se coucher. Cette fois moi et Magali ont pris les lits, Christelle, Christophe et Mathieu dormaient dehors.

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Dernier mis à jour 17.8.2001.

	Lundi matin nous avions une destination spéciale pour Christelle et Magali: leur vieux appartement. Maintenant il était un bureau d'avocat. Quand nous étions en train de prendre un photo devant la porte, tout d'un coup la proprietaire l'a ouvert et nous invité pour une visite. C'était un moment plein des memoires precieux pour les deux filles.
	Enfin Christelle a réussi de contacter Zakaria et nous nous sommes rencontrés dix minutes plus tard devant le mosque de Hassan. Au Maroc seulement les musulmans peuvent entrer, les touristes comme nous doivent se contenter de prendre des photos de l'éxterieur.
	Dans toutes les grandes villes au Maroc il y a une vieille centre-ville, Médina. Les Médinas sont entourés par des murs, parfois plusieurs murs des époques differents. Ceux de Rabat étaient construits pendant le 17ème siècle.
	Zakaria nous a proposé de se promener ensemble et nous sommes traversés le labyrinthe des rues étroites de Médina et arrivés aux jardins de Oudaïas. A coté de la mer il y a une belle vue et un café au plein air qui est populaire même entre les celebrités du Maroc. Nous y sommes alles pour boire une tasse du thé et goûter les patisseries locales. Le thé au Maroc et normalement du thé vert à la menthe avec beaucoup du sucre, délicieux surtout pour la dessert.
	Notre voyage continuait déjà l'après-midi vers Marrakech, une autre ville environ 300 kilomètres vers le sud. Nous avons pris le train, voilà un paysage typique à la campagne.

	Reveilles-toi, nous n'avons pas le temps de dormir toute la journée! La terrace n'était pas seulement une offre pour nous, c'était un choix officiel sur la liste des prix de l'hotel. On pouvait laver la linge aussi.
	Les petites rues au Médina de Marrakech, souks, sont magnifiques. Presque chaqune est trop étroite pour les voitures mais elles sont utilisés par une mélange des piètons, velomotoristes et mules tirant des petites charrettes. Les tapis traditionnelles, Pokémon jouets, bijoux et fruits secs sont concourent de l'espace sur les étagères. Les boutiques sont côte à côte, parfois en deux étages et quelques souks sont couverts par une faible construction du bois et de la tôle. Et dans une des souks les plus sombres il y a une entrée modeste comme tous les autres qui mène à ... une banque avec une demi douzaine de guichets et tous les équipements modernes.
	Après le déjeuner nous avons fait une petite promenade touristique. Le palais royale n'était pas très interessant de l'éxterieur et on ne pouvait pas l'entrer. La grande place à côte rassemblait beaucoup des photos typiques des pays arabes. Les tombeaux saâdiens (dans le photo) avaient une contraste frappante entre les murs plains et ceux avex des decorations complexes, vaut bien la peine à visiter.